Partie 2 de l’exposition en ligne des œuvres d’Éléonore Deshayes et Grégoire Lavigne
Je vous dévoile aujourd’hui le deuxième volet de cette exposition en ligne.
Partez à la rencontre des poésies flottantes d’Éléonore Deshayes et en chemin trouvez refuge au sein des architectures de Grégoire Lavigne. À eux deux, ces artistes vous offrent tout un environnement propice à la rêverie. Un solide édifice sur « Pilotis » surplombe un délicat paysage, vous dominez un panorama et, au loin, découvrez un étonnant « Élevage de granit ». Ici pas d’être humain, vous êtes seul, seul à vous délecter de cette beauté tranquille. Prenez le temps de vous perdre dans ces espaces et ces couleurs.
Virginie
Pour voir en détail les œuvres (différents points de vue et gros plans), vous pouvez cliquer sur les images et accéder à la fiche détaillée de la pièce concernée.
COMMENT ACQUÉRIR UNE ŒUVRE
Pour acquérir l’une des pièces de cette exposition en ligne, vous pouvez l’acheter directement sur mon site via la galerie en ligne ; ou bien me contacter pour discuter ensemble des modalités de vente : 06 84 17 89 57, contact@virginiebaro.com.
Je viendrai personnellement (et dans le respect des gestes barrières) vous livrer si vous résidez dans la région de Bayonne ou organiserai le transport de l’œuvre jusqu’à chez vous.
La nature comme matière première

« L’enjeu est d’opérer des allers-retours entre mon travail bidimensionnel et les sculptures de Grégoire Lavigne. À mon sens, nos œuvres respectives visent à articuler des fragments de nature pour la transfigurer. Grégoire Lavigne crée des curiosités botaniques devenant les motifs absurdes d’un Robinson sans île. Mon travail donne tout pouvoir aux surfaces et si elles restent lisibles, la référence au réel s’estompe pour que se manifeste la matérialité picturale. Les différents plans du paysage se mélangent, glissent les uns sur les autres, s’influencent. J’appelle mes paysages des “poésies flottantes”, flottants comme la vie, le temps, les sentiments et les souvenirs. »
Éléonore Deshayes

[..] L’artiste compose des volumes associant le minéral — la pierre, au végétal — le bois. Dans un jeu de construction, il assemble ces deux éléments pour atteindre un équilibre à la fois physique et esthétique. Ces sculptures abstraites — aux matériaux, quant à eux, très concrets — sont volontairement identifiées par le plasticien : elles se nomment Îlot, Table, Abri ou encore Archipel. Les titres nous plongent irrémédiablement dans une narration qui guide le regardeur vers la pensée de l’auteur. Il est question du « refuge », considéré à la fois dans sa fonction et dans l’état dans lequel il nous assigne. Refuge pour le corps et pour l’esprit. […]
Virginie Baro
